Art contemporain
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` Jean Philippe Arthur Dubuffet, né au Havre le 31 juillet 1901 et mort à Paris le 12 mai 1985, est un peintre, sculpteur et plasticien français.

Il est également le premier théoricien de l'Art Brut et l’auteur de vigoureuses critiques de la culture dominante notamment dans son essai Asphyxiante culture.

Biographie[]

Dubuffet[1] naît au Havre, fils unique d’un important négociant en vins, Georges Dubuffet.

En 1918, il se rend à Paris en compagnie de son fidèle ami Georges Limbour et suit les cours de l’Académie Julian qu'il quitte après seulement six mois. Pendant six ans, il va chercher sa voie en indépendant. Il se lie entre autres à un groupe d’artistes de Montmartre et en 1922, il rencontre André Masson, puis Raoul Dufy, Juan Gris et enfin Fernand Léger avec qui il se lie.

En 1924, doutant de son art, Dubuffet cesse de peindre et s’embarque pour l’Amérique du Sud où il effectue différents petits emplois sur des chantiers et pour une entreprise de chauffage.

En 1925, il décide de revenir en France pour s’occuper de l’entreprise familiale dont il devient négociant pendant huit ans. En 1927, il se marie à Paulette Bret dont il aura une fille deux ans plus tard, et part s’installer à Paris en 1929.

En 1933, Dubuffet se remet à la peinture et à diverses activités artistiques, ce qui l’amènera à divorcer. Il épouse alors en 1937 Émilie Carlu dite « Lili ». Son négoce, puis la guerre, auront raison de son activité plastique jusqu’en 1942, où il peut enfin se plonger totalement dans la création.

En 1944 a lieu sa première exposition personnelle à la Galerie René Drouin. En 1945, il mentionne pour la première fois le terme d’Art brut, et rencontre son galeriste new-yorkais Pierre Matisse. En 1947, Michel Tapié devient son marchand et une première exposition d’Art brut est organisée, sous l’appellation de « Foyer de l’Art Brut ».

1948 : Il fait une importante exposition personnelle à New York et se rapproche des surréalistes par le biais d’André Breton, avec qui il entame des échanges passionnés au sujet de l’Art brut.

À partir de 1949, Dubuffet connaît un certain succès en Amérique avec un article de Clement Greenberg et la rencontre du peintre et collectionneur Alfonso Ossorio. Il se rend même aux États-Unis en 1951, où il rencontre Jackson Pollock, Marcel Duchamp et Yves Tanguy. Cette même année parait le livre de Michel Tapié « un art autre », où Dubuffet côtoie entre autres Pollock, et qui lance la notion d’«art informel  »

En 1955, il s’installe à Vence, d’où il fera l’aller-retour avec Paris les années suivantes. Une rétrospective est organisée à l’ICA de Londres. La cote de Dubuffet grimpe, les collectionneurs se multiplient.

En 1960, après une deuxième rétrospective à New York, Dubuffet décide de rompre avec Pierre Matisse, et Daniel Cordier devient son seul marchand pour Paris et New York. Il achète un appartement pour constituer son secrétariat personnel. Il adhère au Collège de Pataphysique et entame des expériences musicales en collaboration avec Asger Jorn du groupe CoBrA. Une grande rétrospective au musée des Arts Décoratifs est organisée.

En 1962, Dubuffet aménage une maison et un atelier au Touquet près d’Étaples et entame son cycle le plus célèbre, qu’il développera durant douze ans, l'« Hourloupe ». Le Museum of Modern Art de New York lui consacre une grande rétrospective.

En 1967, il cesse totalement de pratiquer la peinture pour se consacrer à des expériences en volumes. Il fait une série de donations : au Musée des Arts Décoratifs, à l’Art Institute de Chicago, au MoMA de New York et au Stedelijk Museum d’Amsterdam.

En 1971, Dubuffet décide de créer une fondation pour réunir un ensemble significatif de ses œuvres. La Ville de Lausanne signe l’accord de donation de la Collection de l'Art Brut en lui offrant un lieu d’exposition permanent. La maison de Vence est vendue.

1973 : Grande rétrospective au musée Guggenheim de New York. En 1974, Dubuffet reprend le dessin et la peinture et met un terme à l’Hourloupe. La Fondation Dubuffet est reconnue établissement d’utilité publique. Dubuffet lui lègue ses archives et un échantillon important de sa production.

En 1984, la série des « Mires » est présentée au pavillon français de la Biennale de Venise. Mme Dubuffet meurt à l’âge de 103 ans. Le 12 mai 1985, Jean Dubuffet meurt à Paris. Une rétrospective est organisée à la Fondation Maeght. La série des « Non-Lieux » est présentée au Centre Pompidou.

L’œuvre[]

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Photo de la Tour aux figuresIssy-les-Moulineaux)

L'œuvre de Dubuffet est constitué de milliers de peintures, dessins, sculptures qui s'étendent de 1942 à sa mort en 1985, soit sur une période de 43 ans. Prolifique et protéiforme, il comprend de nombreuses périodes et styles différents, allant de la plus pure abstraction « matiérique »[2] à des scènes pittoresques ressemblant aux dessins d'enfants, en passant par des collages de toutes sortes.

La fascination de Dubuffet pour la production picturale des malades mentaux, des prisonniers et des enfants l'amènera à développer un art dégagé de la sécheresse des codes bourgeois et de l’intellectualisme. Son travail et ses analyses se réclament souvent d'un art primitif, populaire ou enfantin : « Je suis un peintre du dimanche pour qui tous les jours sont des dimanches. », déclarait-il.

Des figures et des corps maltraités[]

Dubuffet semble faire table rase de tout savoir-faire. Marqués par les graffitis et les dessins d’enfants, on trouve beaucoup de portraits et de personnages traités de manière naïve ou grotesque. Volontairement malhabiles, ils sont peints de manière frontale, sans perspective. Parfois incisés dans la matière même du tableau, ils semblent en surgir, comme dans la série des Corps de Dames (1950-1951) qui fait la transition avec la partie totalement abstraite, matiérique, de la production de Dubuffet. Dans les années 1970, Dubuffet reviendra aux figures de personnages enfantins, dessinées de manière plus précises, aux traits épais, intégrés dans des assemblages (Théâtres de Mémoire) ou des compositions aux couleurs vives exécutées de manière spontanée et violente (Psycho-sites et Sites Aléatoires (1981-1982)).

Abstractions[]

Dans une volonté de dépersonnalisation, Dubuffet fait une plongée dans la matière et l’abstraction totale entre 1957 et 1960, avec des séries comme les Célébrations du Sol ou les Matériologies qui le relieront à l’art informel. Dubuffet utilise alors des techniques mixtes de peinture à l'huile épaissie avec des matériaux comme le sable, le goudron et la paille, donnant à ses pièces une surface exceptionnellement texturisée et une consistance rugueuse. Bien que l’Hourloupe puisse être considérée en grande partie comme étant abstraite, Dubuffet ne reviendra à l’abstraction totale qu’à la fin de sa vie, avec les séries des Mires et des Non-Lieux (1983-1984).

Collages[]

Tout au long de sa pratique picturale, Dubuffet pratiqua le collage d’éléments divers, des ailes de papillon (1953-1955) aux fragments de papiers peints, découpés puis réassemblés dans les Théâtres de Mémoire (1975-1979).

L’Hourloupe[]

C’est la partie la plus connue et la plus spectaculaire de l’œuvre de Dubuffet.

Dès 1962, il fait des séries de dessins au stylo, de manière un peu automatique, débutant ainsi le cycle de l’Hourloupe, son plus long, qui durera jusqu’en 1974. Les créations de l’Hourloupe se caractérisent par des aplats rouges, bleus, blancs et noirs. Le nom est le titre d'un livre contenant des dessins au crayon à bille. Avec l’Hourloupe, il prend le contre-pied de ses œuvres antérieures, faisant disparaître toute texture pour une quadrichromie largement cloisonnée, avec hachures et aplats, qu'il décline en tableaux, sculptures et vastes installations.

Dubuffet abandonne alors la peinture à l’huile et les matériaux naturels pour les peintures vinyliques et les markers et, à partir de 1966, afin de passer à de grandes réalisations en volume, il apprend à maîtriser le polystyrène, le polyester, l’époxy, le béton projeté et les peintures polyuréthane. Essentiellement abstraite, cette vaste prolifération systématique peut former ici des objets, là des plantes, ou encore même des personnages pouvant se mouvoir et interagir dans sa création Coucou Bazar (1973), conçue pour ses deux rétrospectives à New York et à Paris.

Périgny et la Fondation Dubuffet[]

Dans le cadre de la Fondation qu'il avait créée en 1971, Jean Dubuffet achète un terrain à Périgny sur Yerres (Val-de-Marne). Il y crée une œuvre majeure, sur une grande superficie, La Closerie. De nombreuses œuvres de Dubuffet sont entreposées à Périgny, sous l'égide de la Fondation ; on y trouve notamment la maquette de l'œuvre qui avait été destinée à Renault Billancourt (qui a fait l'objet d'un procès entre Dubuffet et la Régie Renault quand cette dernière a voulu annuler la commande).

Dubuffet et l'Art Brut[]

Dubuffet a inventé le terme Art Brut[1] (dont il a « déposé » le brevet) pour désigner l’art produit par des non-professionnels travaillant en dehors des normes esthétiques convenues, restés à l’écart du milieu artistique, ou ayant subi une rupture sociale et psychologique suffisamment forte pour qu'ils se retrouvent totalement isolés et se mettent à créer.

L’histoire de l'Art Brut est intimement liée à la vie de Dubuffet, et c'est avant tout l’histoire d’un collectionneur et d'un amateur passionné.

Prémices et découvertes[]

Cette histoire commence en 1923, lorsque Dubuffet découvre les cahiers illustrés de Clémentine Ripoche, visionnaire démente qui dessine et interprète la configuration des nuages, et que peu de temps après, Paul Budry, son colocataire, lui offre le désormais célèbre « Bildnerei der Geisteskranken » (Expressions de la folie) d’Hans Prinzhorn, paru l’année précédente à Berlin, et qui porte un intérêt esthétique à la production des œuvres de « fous ».

La vie reprend ses droits, puis, en 1945, tout s’accélère, et Dubuffet, dégagé de ses obligations mais avec quelques sous en poche, peut alors se lancer pleinement dans la prospection et l’achat d’œuvres de créateurs «  vierges ». Accompagné de Jean Paulhan et de Le Corbusier, il se rend d’abord en Suisse sur l’invitation de Paul Budry, à l’hôpital psychiatrique de la Waldau de Berne. Il y découvre les travaux d’Adolf Wölfli et Heinrich-Anton Müller, rencontre Walter Morgenthaler (le biographe et psychiatre de Wölfli). À Lausanne, ce sont les travaux de Louis Soutter et Marguerite Burnat-Provins qui l’enthousiasment. Dans une lettre à René Auberjonois, Dubuffet emploie pour la première fois le terme d’art brut. Il se rend à l’asile de Rodez rencontrer le Dr Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud, qui montre à Dubuffet des œuvres de Guillaume Pujolle et Auguste Forestier, puis il retourne en Suisse visiter le « petit musée de la folie » du Dr Ladame.

En 1946, c’est la découverte d’Aloïse par le biais de Jacqueline Porret-Forel (biographe et docteur d’Aloïse) qui est alors à Paris, puis de Joseph Crépin lors de sa 2Modèle:Ème exposition à la Galerie Lefranc. Dubuffet entre également en relation épistolaire avec Gaston Chaissac (dont Jean Paulhan lui a montré quelques lettres). Les deux hommes se rencontrent l’année suivante lors de l’exposition Chaissac à la galerie L’Arc-en-Ciel, dont Dubuffet écrit la préface.

Paris : Le Foyer puis la Compagnie de l'Art brut[]

Le 15 novembre 1947 a lieu l'ouverture du Foyer de l’Art brut, à travers une première exposition qui se déroule dans les sous-sols de la Galerie Drouin (Michel Tapié en assure la permanence). C’est l’occasion de la rencontre avec André Breton, qui achète des œuvres de Crépin. Rencontre extrêmement fructueuse puisque Breton deviendra membre actif de la Compagnie de l’Art brut, et fera découvrir à Dubuffet des artistes tels que Augustin Lesage, Maisonneuve, Hector Hyppolite ou encore les dessins de Scottie Wilson.

En 1948, le Foyer de l’Art Brut déménage dans un pavillon prêté par les éditions Gallimard et devient la Compagnie de l’Art brut, association loi de 1901, dont les fondateurs sont Dubuffet, André Breton, Charles Ratton, Edmond Bomsel, Michel Tapié, Jean Paulhan et Henri-Pierre Roché. On compte parmi les adhérents des personnalités telles que Michaux, Malraux ou Lévi-Strauss. Une exposition de Gironella est organisée, puis d’Aloïse, à qui Dubuffet va rendre visite en Suisse. Ce dernier va voir ensuite Chaissac chez lui, puis publie « l’art des fous, la clé des champs » dans le N°6 des Cahiers la Pléiade.

En 1949, une grande exposition collective est organisée à la galerie Drouin (avec 200 œuvres et 63 auteurs), et Dubuffet signe « L’art brut préféré aux arts culturels ». Découverte des mies de pain du Prisonnier de Bâle et exposition Wölfli.

L'épisode américain[]

À partir de 1951, le vent tourne vers les États-Unis, où Dubuffet se rend souvent, a de nombreuses connaissances et jouit d’une bonne reconnaissance. De plus, les mauvais comptes de la Compagnie de l’Art brut précipitent le départ des collections pour les États-Unis (qui ne seront définitivement installées qu’en 1953), chez l’ami de Dubuffet Alfonso Ossorio, dans son ranch de Long Island. La Compagnie est dissoute, André Breton démissionne. On recense alors 1 200 œuvres d’environ cent auteurs. Dubuffet tient une conférence à la faculté des lettres de Lille, « Honneur aux valeurs sauvages », et fait publier « Hippobosque au bocage » de Gaston Chaissac, aux éditions Gallimard. Après les collections en Amérique, enrichies d'artistes comme Henry Darger ou Martin Ramirez, il s’ensuit une période un peu plus calme, ponctuée ici et là par quelques découvertes et expositions avec la complicité d’Alphonse Chave.

Retour à Paris[]

Jusqu’en 1962, où les collections reviennent à Paris dans un immeuble de trois étages acheté rue de Sèvres, destinées à devenir centre d’étude et musée privé. La Compagnie de l’Art brut est reconstituée, Slavko Kopac en est nommé conservateur. Dans l’année qui suit, mille nouvelles pièces de 70 auteurs seront acquises. 390 dessins du Facteur Lonné seront achetés d’un coup, ainsi que la première toile d’Augustin Lesage, confirmant ainsi la présence des "artistes médiumniques". Et dès 1964 paraissent les deux premiers fascicules de la Compagnie : dans le premier on trouve le prisonnier de Bâle, Clément, le Facteur Lonné et Palanc ; le deuxième est quant à lui entièrement dédié au texte de Morgenthaler sur Adolf Wölfli. Ces publications se poursuivront de manière irrégulière jusqu’à nos jours, où vient de paraître le Fascicule N°22.

En 1967, se tient l’une des plus importantes expositions d’art brut, au Musée des Arts décoratifs. On peut y voir une sélection de 700 œuvres de 75 auteurs (sur les quelques 5 000 œuvres que la Compagnie possède alors). Dubuffet en signe la préface, « Place à l’incivisme », et on dénombre pas moins de 20 000 visiteurs.

Lausanne et la Collection de l'Art brut[]

1971 est une date charnière pour les collections d’art brut. Dubuffet ayant décidé d’en faire don (ce qui amènera la dissolution définitive de la Compagnie de l’art brut), c’est finalement la ville de Lausanne qui promet d’aménager un lieu pour y accueillir les œuvres, revenant donc vers le pays où tout a commencé. Le Château de Beaulieu, hôtel particulier du XVIIIe] siècle, sera ce lieu où seront finalement transférées les œuvres en 1975 et inaugurées le 26 février 1976 (et où elles sont toujours, sous l’appellation de Collection de l'art brut). Michel Thévoz en sera le fidèle conservateur du début jusqu’en 2001. C’est en 1971 également qu’est rédigé un catalogue exhaustif de la collection, recensant 4 104 œuvres de 135 auteurs d’art brut « pur », que Dubuffet doit distinguer pour des raisons éthiques et idéologiques d’une collection « annexe » (dite « Neuve Invention » en 1982) où les auteurs se rapprochent d’une démarche professionnelle, et où on recense alors 2 000 autres œuvres.

Au-delà de Dubuffet[]

Dès 1971, Dubuffet rencontre Alain Bourbonnais, architecte, créateur et surtout collectionneur passionné d'art populaire et marginal qui, sur les conseils de Dubuffet, appelle sa collection d’art « Hors les normes » et l’installe dans l’Atelier Jacob, rue Jacob, et qui deviendra La Fabuloserie. Échappant à Dubuffet, son gardien et son théoricien, l’art brut commence alors sa « vie publique » et la formidable aventure qui l’amènera jusqu’à nous, à travers deux expositions majeures : Les Singuliers de l’art en 1978, immense succès populaire, au Musée national d'Art moderne de la Ville de Paris (dont les commissaires sont Suzanne Pagé, Alain Bourbonnais, Michel Ragon et Michel Thévoz) ; et Outsiders en 1979 à Londres, menée par Roger Cardinal, qui fera le pont avec l’Amérique et l'Outsider Art, ouvrant les portes du Marché de l’Art international…

Les titres et l'écriture[]

Jean Dubuffet veut devenir écrivain pendant son enfance . Ses premières rencontres sont celles d'Armand Salacrou et Georges Limbour. Il veut être écrivain car il ne se sent pas peintre. Une influence importante va apparaître : Jean Paulhan, qui aide Dubuffet à devenir écrivain.

Finalement, Dubuffet sera peintre mais le titre sera son terrain d'écriture. Le titre sera un morceau d'écriture.

Quelques exemples de titres :

  • Cerises au fumeur (1924)
  • Bertelé manchot (1947)
  • Marie tremblote (1973)

Les titres de Dubuffet expriment une autre partie de son œuvre, avec une portée humoristique. Certains titres sont parodiques et critiquent une culture "asphixiante".

En fin de carrière ils deviendront plus simples.

Citation[]

« L’art ne vient pas coucher dans les lits qu’on a faits pour lui ; il se sauve aussitôt qu’on prononce son nom : ce qu’il aime c’est l’incognito. Ses meilleurs moments sont quand il oublie comment il s’appelle.  »

— Jean Dubuffet (1960)

Voir aussi[]

Sources[]

  1. 1,0 et 1,1 Références biographiques tirées de Jean Dubuffet. Peintre Philosophe, op cité. Voir aussi L'historique en ligne
  2. Peinture de la Matière

Bibliographie[]

Catalogues raisonnés[]

  • Catalogue des travaux de Jean Dubuffet - Fascicules I-XXXVIII, Paris, 1965-1991
    Consultables à la bibliothèque du Centre Pompidou / Beaubourg
     
  • Sophie Webel, L’Œuvre gravé et les livres illustrés par Jean Dubuffet. Catalogue raisonné, Paris, 1991 

Ouvrages écrits par Jean Dubuffet[]

  • Prospectus et tous écrits suivants, Paris, Gallimard
    Tomes I et II : 1967. Tomes III et IV : 1995
     
  • Asphyxiante culture, Paris, Jean-Jacques Pauvert éditeur, 1968 
  • L’Homme du commun à l’ouvrage, Paris, Gallimard, 1973
    Collection Idées
     
  • Bâtons rompus, Paris, Editions de Minuit, 1986 

Ouvrages sur Jean Dubuffet[]

  • Michel Ragon, Dubuffet, Paris, Le Musée de Poche, 1958
    Réedition Fall, Paris, 1995
     
  • Max Loreau, Jean Dubuffet - Délits, Déportements, Lieux de Haut Jeu, Lausanne, Weber Editeur, 1971 
  • Gaëtan Picon, Le travail de Jean Dubuffet, Genève, Skira, 1973 
  • Andréas Franzke, Dubuffet, Paris, Gallimard, 1975 
  • Marcel Paquet, Jean Dubuffet, Paris, Casterman, 1993 
  • Michel Thévoz, Dubuffet, Genève, Skira, 1986 
  • Laurent Danchin, Jean Dubuffet, Paris, Terrail, 2001 
  • Laurent Danchin, Jean Dubuffet. Peintre Philosophe, Editions de l'Amateur, 2001, (1re édition La Manufacture 1988).
  • Marianne Jakobi Jean Dubuffet et la fabrique du titre Doctorat Editions du CNRS 2006 228 pages .
  • Céline Delavaux, Dubuffet Le grand bazar de l'art, Paris, Palette..., 2008 

Articles connexes[]

  • Peindre le Siècle 101 Portraits majeurs 1900-2000
  • Collection de l'art brut
  • Michel Thévoz
  • Hans Prinzhorn
  • La Fabuloserie
  • Gaston Chaissac

Liens externes[]

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